Voilà la réponse au suspense de la page précédente. Pas sûr que la fin de cette planche ne vous laisse tranquille pour autant !
J’ai beaucoup retravaillé cette planche, vous aurez droit à un beau making of !
Dessins, peintures et BD par Belzaran
Voilà la réponse au suspense de la page précédente. Pas sûr que la fin de cette planche ne vous laisse tranquille pour autant !
J’ai beaucoup retravaillé cette planche, vous aurez droit à un beau making of !
J’ai un peu merdé la couleur. C’était pas trop mal, j’allais arrêter, puis je me suis dit : « tiens si je retouchais ça ? ». Et paf !
La planche suivante avance. Patience !
J’ai eu beaucoup de difficultés sur cette planche. J’avais des problèmes de redondances graphiques avec la planche 55 à venir. J’ai du refaire toute la bande du bas.
Après toutes ces perspectives à tracer à la règle, quel plaisir que de travailler sur une planche pareille ! Continuer la lecture de « Des paysages apaisants »
J’ai envie de dire : « et les vertiges de l’amour dans tout ça ? »
Avec grand plaisir, je retrouve les grands espaces pour la page suivante. Plus de perspectives ! Youpi !
Encrage au pinceau et aquarelle sur format A5.
Une illustration de Laura aujourd’hui pour célébrer la beauté et l’amour.
Les étapes de création de cette illustration sont disponibles sur mon Tumblr.
Publier les planches colorées permet de se remettre dans les débuts de l’histoire. Avec la couleur et le lettrage, les planches se montrent telles qu’elles seront sur le papier ! Et puis c’est bon de lire parfois quelques pages à la suite, non ?
Je vous rappelle que la colorisation est assurée par Nicolas Archimède qui scénarise et dessine lui-même des histoires en… noir et blanc.
Vous y avez cru, hein ?
C’est pas tout mais ça fait quand même 50 pages tout ça !
Je l’avais déjà évoqué, mais j’ai réalisé la majorité de mes storyboards avant de m’améliorer en perspective. Depuis, j’ai supprimé beaucoup de plans vus de profil ou de face que je trouve trop statiques. Ainsi, quand je dessine ma planche, je dois souvent changer les cadrages. Parfois, je ne le fais pas et je le regrette.
Note : Cet article est aussi l’occasion de montrer beaucoup de crayonnés et de work in progress.
J’ai beaucoup galéré sur cette planche. J’ai refait 4 cases (record battu) et les nombreuses perspectives m’ont fait perdre du temps. Je vous ferai sûrement un petit topo sur mes galères techniques, car il y a à en dire !
Petite anecdote intéressante (ou pas) : dans la première version de l’histoire, c’est Alexis qui jouait de la guitare.
Cependant, le fait de l’avoir ENFIN terminée m’a remonté à bloc et j’ai déjà bien avancé la suivante. Petit spoiler : Alexis y est à demi-nu.
En bonus, évidemment, la chanson en question issu de la BO du film Into The Wild de Sean Penn, un morceau de circonstance !
Une nouvelle illustration de Laura où j’ai essayé une nouvelle technique : dessiner certains éléments sans trait noir. Ça vient de la photo modèle, où les rideaux diffusent la lumière de façon très légère.
Note : sur la photo modèle, la personne n’est pas une souris.
Après une journée de randonnée, quoi de plus normal que de vouloir se débarrasser de ses vêtements de sport sales pour enfiler une petite robe légère ?
J’ai profité de cette illustration pour tester l’encrage mixte pinceau/plume.
Le plus dur avec cette planche a été de la gommer… Comme quoi…
Cela clôt le chapitre Besseggen.
Le dimanche, c’est jour de planche !
Alexis est enfin en haut, il va pouvoir souffler… Ou pas ?