La nouvelle version du blog est en ligne ! Petite revue des changements et des choix esthétiques !
Mon premier thème (nommé Belz)était chargé en couleurs et en images et j’avais souhaité revenir à quelque chose de plus sobre. Le second, Garehn, était plus classique, mais du coup sans beaucoup de personnalité.
Il suffit de noter la bannière faite d’extraits de planches pour le voir, ou encore le fond avec l’encrier et la plume, pas vraiment terminé… Il possédait quand même quelques modifications de son thème parent (Twenty Ten, par WordPress). J’ai donc commencé Garehn 2.0 afin de le terminer réellement. Il me fallait enlever ce trait noir affreux en haut de la bannière par exemple… Mais à force de bidouiller, j’ai décidé de tout reprendre à zéro et de ne plonger pleinement dans la CSS afin de maîtriser vraiment ce que je faisais et, surtout, de bien finaliser l’ensemble.
Les objectifs du blog étaient les suivants :
un ensemble basé sur le blanc (fond, menu et bannière)
outre le noir (pour l’écriture), une seule couleur utilisée (ocre)
la bannière doit être sobre et mettre en avant le titre
les liens doivent respecter les codes couleurs
quelques illustrations doivent donner plus de personnalité au blog (bulle de commentaire, boutons de suivi…)
utiliser Twenty Eleven comme thème parent, car il est encore mis à jour (contrairement à Twenty Ten)
C’est sur cette base que j’ai travaillé. Comme le blog est codé correctement (et non bidouillé comme les autres fois), je pourrais le faire évoluer plus facilement. De mon point de vue, ce blog est plus propre et semble moins bricolé que l’ancien. Son nom, White Rabbit, fait référence à la base couleur faite de blanc. J’espère qu’il vous plait ! Quoiqu’il en soit, s’il y a des problèmes quelconques en termes de bugs et/ou de navigation, n’hésitez pas à m’en faire part.
Note : Ne pouvant pas tester le blog sur Smartphone ou tablette, j’espère qu’il n’est pas trop moche sur ces plateformes…
Découvert lors de la matinale en cavale de Short Edition, Le Pueblo m’a vite tapé dans l’œil et je n’ai pas tardé à suivre ses activités de près. A l’occasion du lancement d’une campagne Ulule, il me semblait opportun d’aller lui poser quelques questions sur sa vie et ses œuvres.
Depuis des semaines, les réseaux sociaux, blogs et sites web saturent d’articles et commentaires liés à la situation précaire des auteurs de bande-dessinée. Cela avait commencé notamment par le documentaire Sous les bulles, l’autre visage de la bande-dessinée (par Maiana Bidegain). Ce reportage, particulièrement déprimant, avait le mérite de pointer du doigt les difficultés du milieu, tout en interviewant toute la chaîne, de l’auteur au libraire. Depuis, les auteurs voient pointer une réforme des retraites les appauvrissant d’autant plus. Mais quel est le rôle du lecteur dans tout ça ?
D’abord, il me paraît nécessaire de présenter mon point de vue en tant qu’auteur amateur de bande-dessinée. Ayant dernièrement envoyé mon premier dossier pour un projet à un éditeur, j’ai une idée sur la question. Bien qu’ayant toujours développé des loisirs créatifs (écriture, création de jeux vidéo, musique, puis BD), je n’ai jamais réellement souhaité en faire un métier. La trop grande précarité de ces milieux a toujours douché mon enthousiasme. D’autres contraintes m’ont souvent gêné, que ce soit la vie loin de chez soi pour la musique ou la solitude du dessinateur de BD devant sa planche. Bref, j’ai toujours voulu avoir un emploi salarié qui me laissait l’esprit libre à la création, sans stress ni pression. Même si parfois le fait d’avoir un blog m’a poussé à baisser la qualité de mes créations (je l’admets pleinement), j’ai actuellement le plaisir de ne dessiner que lorsque j’en ai vraiment envie. En cela, Fabrice Erre est un exemple : il publie des bande-dessinées tout en étant enseignant. Un nouveau modèle pour moi ?
Ce qui m’intéresse ici c’est avant tout de parler du rôle du lecteur, puisque je suis avant tout un grand lecteur de bande-dessinée. Il y a trois ans, j’avais évoqué dans un article de ma newsletter la nécessité d’être militant dans ses achats, 3ême si un lecteur n’achète jamais autant de bande-dessinées qu’il le voudrait réellement (ou alors il est très riche !). Cette analyse mérite d’être un peu étayée. En effet, à l’époque je parlais beaucoup des auteurs de blogs BD. Ces derniers tentaient de percer par leur activité sur internet et certains se voyaient édités, souvent par de petits et jeunes éditeurs (dont certains ont mis la clé sous la porte depuis). A l’époque, j’achètais alors beaucoup de ces premiers livres pour soutenir à la fois les maisons et les auteurs. Hélas, à force, je suis devenu particulièrement méfiant à l’encontre de ces ouvrages. En effet, après des premières bonnes surprises, j’ai trouvé que le niveau d’ensemble baissait sacrément. Des auteurs excellents en blog produisait des livres bien moins percutants (la difficulté de tenir sur des dizaines de pages ?), le tout dans des ouvrages pas toujours de grande qualité. Et je passe sur les (très) nombreux recueils fourre-tout. J’étais alors face à des auteurs qui, pour publier, se servaient de ce qu’ils avaient déjà en main plutôt que de proposer un véritable projet construit autour d’une idée. Dommage. Du coup, je me suis détourné de certaines maisons d’édition et, par là-même, de certains auteurs.
Parallèlement, mon amour pour les séries s’est tellement étiolé que je n’en achète presque plus. C’est tout juste si j’accepte d’acheter le premier tome d’un triptyque. Trop de désillusions, de séries sans fin qui se diluent… Sans même parler de celles qui changent de dessinateur en route ! Je privilégie désormais le one-shot, quitte à ce qu’il fasse 100 pages. De même, j’ai arrêté de faire pleinement confiance aux auteurs. Avant, j’achetais des livres les yeux fermés s’ils étaient scénarisés/dessinés par certaines personnes. Devant les déceptions, j’ai fini par être beaucoup plus prudent. Ainsi, l’un des auteurs que j’admire le plus, Blutch, a l’immense mérite de faire des ouvrages très différents. Ainsi, lorsqu’il propose Pour une finir avec le cinéma, j’ai passé mon tour. Ce livre axé sur des scènes de films cultes pour cet auteur. N’y étant pas réceptif, j’ai préféré attendre plutôt que d’être déçu. J’ai pu ainsi acheter son dernier ouvrage Lune l’envers, dont j’ai pleinement apprécié la lecture.
Le besoin de posséder en question
Le fait que je lise beaucoup en bibliothèque m’a permis de prendre du recul sur la notion absolue de possession. Ainsi, je ne souhaite plus avoir une grande bibliothèque majestueuse, mais quelque chose de cohérent. Ainsi, plusieurs critères entrent désormais en jeu pour qu’une bande-dessinée mérite son entrée dans ma bibliothèque :
– être magnifique graphiquement (au point que cela me serve de référence pour mon propre dessin)
– avoir un vrai potentiel de relecture (ce qui sous-entend une vraie qualité de scénario).
Cette analyse est vraie également pour la littérature et la musique (puisque j’achète encore des albums). Je suis donc passé outre deux tabous : l’occasion et la revente. Ainsi, j’ai revendu pas mal d’ouvrages (notamment des séries) qui ne me plaisaient plus du tout. Et parallèlement, j’achète en occasion les séries (anciennes) qui me plaisent. Car découvrir une série et devoir acheter 8 à 10 tomes, c’est compliqué. Ainsi, découvrant Le vent dans les saules (et sa suite, Le vent dans les sables) de Michel Plessix, j’avais neuf tomes à acheter. A une bonne dizaine d’euros le livre, j’ai préféré me rabattre sur l’occasion. Problème : l’auteur ne touche rien. C’est la même chose pour les Donjon (Sfar & Trondheim + plein de guests) où le nombre de tomes est mirobolant et que je complète petit à petit, sur plusieurs années.
Lire en bibliothèque : éviter les désillusions ?
Parallèlement, mes lectures en bibliothèque ont fortement baissé mon volume d’achat. Cela m’a permis d’éviter certains BDs qui m’attiraient sur le papier mais qui se sont révélés décevantes. A l’inverse, ayant découvert Cité 14 (Gabus & Reutimann) en bibliothèque, j’ai acheté les deux saisons complètes, ainsi que le spin-off. Même si, en soit, j’aurais préféré la version livret qui a disparu, car pas assez rentable…
La bibliothèque a chez moi favorisé les ouvrages forts, parfois un peu plus abruptes à la lecture, au détriment des ouvrages grand public. En cela, c’est plutôt une bonne chose. D’ailleurs, lorsque j’ai pu voir les chiffres des meilleures ventes de bande-dessinées de l’année dernière, je me suis aperçu que je participais peu aux blockbusters (mis à part le dernier Blacksad par Diaz Canales & Guarnido).
Un autre exemple intéressant est Bone de Jeff Smith. J’ai pris cette bande-dessinée en bibliothèque car je savais qu’un jeu vidéo avait été fait sur cet univers. Voilà le point de départ ! J’ai dévoré l’ensemble et c’est, selon moi, l’une des meilleures séries que j’ai pu lire. J’ai donc logiquement voulu l’acheter. Actuellement, son édition n’existe qu’en couleur… Or j’avais découvert Bone en noir et blanc et avait été transcendé par le trait au pinceau magnifique de Jeff Smith. Ce comics a été fait avant tout en noir et blanc et l’ajout de la couleur n’est qu’une manœuvre commerciale destinée à toucher un plus grand public. J’ai donc entrepris d’acheter cette série d’occasion afin de pouvoir profiter du noir et blanc. Après deux ans de recherche, j’ai trouvé dix des onze tomes… Je touche au but !
Au final, les intérêts des lecteurs et des auteurs divergent forcément. Car à la précarité réelle des auteurs s’oppose le pouvoir d’achat des lecteurs. Ma propre capacité d’achat m’a obligé à trouver des moyens de continuer à lire beaucoup sans m’appauvrir. Cela m’a poussé vers l’occasion et les bibliothèques. L’effet principal a été mon ouverture d’esprit, puisque j’ai pu découvrir de formidables ouvrages et auteurs que je n’aurais pu découvrir en librairie. En librairie, les livres tournent très vite, pas en bibliothèque…
Cette année, j’ai participé à un atelier de bande-dessinée. Cela m’a forcé à adopter plus de rigueur dans la construction de mes pages. Après des mois de labeur, j’ai pu terminer cinq pages en noir et blanc (format A3) de La Chasseuse d’Hommes. Contrairement à la plupart de mes projets, j’ai ici travaillé avec beaucoup de dessins de recherche et des storyboards remaniés. Et j’ai saisi tout le bienfait que cela apportait. Retour sur la page 4, qui a été pas mal remaniée entre sa première et sa dernière version.
Dans le scénario originel, la page 4 était particulièrement fourni. Après des tentatives infructueuses au niveau du storyboard, j’ai décidé de scinder le tout en deux pages. Cela me permettait de dessiner des cases plus grandes (et donc graphiquement plus abouties) et d’ajouter un peu de narration pour lier le tout. En bref, on y gagnait de la fluidité. Après remaniement, j’obtenais le storyboard suivant :
Cette version n’était pas mauvaise en soi. J’aimais bien l’idée de cases verticales, mais les deux petites cases carrées (4 et 5) manquaient vraiment d’intérêt. Le dialogue paraissait limité et on ne voyait pas la fille repartir. Bref, quelque chose n’allait pas. Afin de réfléchir aux améliorations, je me lançais dans des recherches. Ici, les idées sont esquissées uniquement (cela se voit au niveau du dessin, franchement mauvais). Cela me permet de placer les personnages, les dialogues, les masses de noir, etc. Ainsi, on peut mieux visualiser les erreurs.
Je me lançais sur la première case. C’est une case de transition qui fait suite à une ellipse (changement de temps et de lieu) et elle doit marquer le lecteur immédiatement. Pour cela, je m’inspire d’une première recherche faite des mois auparavant lors de mes recherches de personnages où l’on voyait Diane dans son bain, dans une bassine, avec les pieds qui sortent. Rapidement j’obtenais une idée qui me paraissait parfaitement rendre ce que je souhaitais. On y voit Diane dans son bain, complètement détendue. Cette fois, elle croise ses jambes, ce qui donne plus de volume et de perspective. Et contrairement à ce qui est prévu dans le storyboard (case 1), la vue est en plongée. On aperçoit donc le corps de la femme. Le bras qui sort, les jambes croisées, tout laisse penser à la détente. Je valide rapidement cette idée, mais je dois alors changer le storyboard. Cette case n’est pas horizontale, mais carrée. Je dois donc tout revoir dans la construction de la page.
Savoir s’adapter : modifier, ajouter, supprimer.
Je précise qu’à ce moment-là, je fais corriger mon étude par mon prof afin d’éviter les problèmes d’anatomie. Car si l’idée de la détente dans le bain est plutôt bien rendue, il y a de vrais soucis, notamment sur l’épaule, les jambes et, bien sûr, le pied. C’est là que l’atelier possède un véritable intérêt. Cela permet de corriger les détails et, surtout, de voir comment ils sont corrigés par le prof !
Dans le même esprit, je n’aime pas trop mon idée de dernière case. Un peu trop voyeuse dans l’esprit. Et j’ai peur que le dessin ne soit pas particulièrement beau. Ainsi, pour fluidifier le dialogue, je décide d’utiliser cette case comme une continuité. Le dialogue s’arrêtera d’ailleurs au début de la page suivante. Clairement, le storyboard permet d’améliorer grandement la narration, car on améliore par multiples retouches la construction de base.
Dans un projet différent, L’éveil des sens, je profite également de la première version pour à la fois m’inspirer de ce que j’avais fait et pour voir les lacunes de cette même version. Les pages datant de plusieurs années en arrière me servent de storyboard ! Ainsi, dans une page (non-publiée encore), j’ai changé le sens de la case afin que la camion et le regard de l’enfant soient tournés vers la droite, ce qui facilite la lecture (un grand classique de la bande-dessinée !).
Voilà donc la nouvelle version du storyboard, une fois remanié. Ce changement implique du coup un changement également pour la page suivante.
Ici, je garde quand même certaines composantes, comme la case verticale du fusil ou la case 2. Cette dernière n’est pas si réussie et marquera le plus gros souci de la planche. En effet, devenue verticale, elle est désormais trop grande. Il y a donc un grand vide dans la version finale. Malgré tout, la narration y gagne beaucoup avec les cases centrales. La case horizontale où la chasseuse tient en joue la fille est plus percutante ainsi, le fusil étant visible et central désormais. Quant aux deux cases dialoguées, mises côte-à-côte, elles fonctionnent bien mieux et semblent se répondre. Enfin, la dernière case, avec le regard dure de la chasseuse et la voix de la fille hors champ, elle accentue le caractère fort de l’héroïne. L’ancienne version, où l’on voyait la fille dépité, mettait plutôt l’accent sur une forme de timidité du personnage secondaire, ce qui n’était pas forcément le but recherché. Je vous laisse avec les photos des crayonnés et de la planche.
La publication de ces 5 pages est prévue à la fin du mois (lorsque mon atelier sera terminé). Avec un peu de chance, vous en aurez même 6 ! Et avec ma nouvelle façon de publier, tout sera publié d’un coup. Afin de profiter à plein de cet atelier, je le continue l’année prochaine. L’idée est de travailler cette fois-ci sur Le huitième péché capital. A confirmer d’ici-là !
Je vous présente aujourd’hui mon nouveau blog, absolument pas dessiné : Les Maux du Collège. Cela regroupe les citations d’élèves croustillantes que j’ai pu récupérer pendant mes premières années en collège. Je compte faire vivre ce blog grâce à chaque nouvelle génération d’élèves, mais aussi grâce à la participation d’autres enseignants. Si vous êtes professeur en collège, n’hésitez pas à m’envoyer vos perles ! Jusqu’à la fin de l’année scolaire, il y aura une nouvelle citation par jour (50 citations actuellement).Voilà quelques exemples :
Concernant les résultats du sondage, je vous remercie d’avoir été si nombreux à y participer. Je remercie également ceux qui ont mis en commentaire leurs impressions plus précisément. Après réflexion, je me range du côté de Vertron. Ainsi, la newsletter est dissoute et va désormais être intégré article par article sur le blog. Le but est de permettre une meilleure lecture (nombreux sont les lecteurs qui m’ont déjà dit ne pas avoir le temps de la lire ou de la lire à moitié), mais également plus de pérennité sur le web. Ainsi, une interview serait trouvable sur les moteurs de recherche.
Je suis aussi satisfait de l’équilibre de votre intérêt pour les articles. Je fais donc sauter les critiques BD, qui sont publiées je le rappelle sur mon blog collaboratif Blog Brother.
Concernant les planches, je suis également l’avis de Vertron. Pour L’Éveil des Sens, je publierai donc les pages par deux désormais. C’est une révolution pour moi. Ainsi, la page 21 est terminée, mais j’attendrai de terminer la 22 avant de vous la proposer.
J’espère que ces menus changements n’auront pas d’impact négatif sur votre fidélité. Merci en tout cas à vous de me suivre avec autant d’assiduité !
Histoire de faire évoluer la newsletter (et de ne pas la supprimer purement et simplement), j’ai besoin de votre avis. Si vous ne la lisez pas, cela ne vous empêche pas de répondre. Vous pouvez cocher entre 1 et 3 réponses. Merci d’avance, c’est important pour moi !
N’hésitez pas non plus à laisser un commentaire pour expliquer vos choix !
Voilà la newsletter de Mars 2014 (avec un peu de retard, vous en conviendrez, d’où le titre de l’article). Merci à Kalumis qui a bien voulu répondre à mes questions !
Vous pourrez me suivre ce week-end pour les 23 heures de la BD. Mes pages seront lisibles ICI. Comme chaque année, je les ajoute dès qu’elles sont terminées. N’hésitez donc pas à regarder régulièrement s’il n’y en a pas de nouvelles. Vous pouvez aussi relire la formidable histoire graveleuse What About Sex que j’avais dessinée l’année dernière. Continuer la lecture de « 23HBD 2014 »
Cette année, comme les trois précédentes, je participerai aux 23 heures de la BD. C’est l’occasion d’écrire une nouvelle histoire et de la mener à bout en un petit week-end ! Ils auront lieu du 29 au 30 mars 2014. Pour l’occasion, voilà un fan-art pour l’événement.
Voilà la première newsletter de l’année. Afin de pouvoir continuer à produire cette newsletter, elle sortira désormais tous les deux mois. J’y passe actuellement, beaucoup trop de temps.
Un grand merci au Zouave Interplanétaire qui a bien voulu se prêter au jeu de l’interview. Je vous invite évidemment à aller lire son blog d’analyse de bande-dessinée.
Pour télécharger la newsletter (au format PDF), il vous suffit de cliquer sur la couverture.
Aujourd’hui, vous pouvez me retrouver sur le site Vie de Merde. Cliquez sur l’image pour accéder à mes planches !Vous pouvez aussi retrouver mon interview ICI.
Afin de fêter cet événement, je me suis inscrit sur Twitter. Cliquez sur l’image en dessous pour accéder à mon compte et faire partie de mes followers.