Dessins, peintures et BD par Belzaran
Nouveau portrait à l’aquarelle et crayon. Ça faisait un bout de temps que je voulais en refaire un, c’est chose faite !
Une nouvelle planche de La Prépa est prévue pour la fin de la semaine, la couleur est presque terminée !
Le Louvre, avec si peu de monde, quel bonheur ! Comme un parfum de nocturne, mais le jour !
Je continue mes expérimentations au crayon et aquarelle. Le gros point fort est le traitement des scans : je n’ai presque rien à retoucher. Je commence vraiment à envisager de faire une BD comme ça : non seulement le rendu me plait beaucoup, mais je gagnerais beaucoup de temps dans avoir besoin d’encrer ou de (beaucoup) retoucher les planches après le scan.
Et aujourd’hui, des dessins en prime :
Pas facile le premier jour avec les classes au complet…
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Hier, j’ai lu l’art book de Jean-Pierre Gibrat nommé L’Hiver en été. Il y explique pourquoi il a abandonné l’encrage dans ses bande-dessinées. Cette technique lui a quand même permis (entre autres) d’accéder à un succès public.
Comme ses réflexions rejoignaient certaines des miennes, j’ai décidé de tenter de faire un portrait à l’aquarelle, mais sans encrage. Je démarre avec un dessin au crayon assez léger, j’efface les erreurs, je passe la couleur, puis je repasse certaines parties au crayon. Voilà ce que ça donne :
L’idée n’est pas de changer complètement ma façon de faire, mais d’ajouter une nouvelle corde à mon arc. Je découvre du coup les difficultés à scanner et rendre correctement ce dessin !
Le yoga aura ma peau.
Ça commençait à faire longtemps : un petit croquis en bonus aujourd’hui. Toujours le travail des vêtements qui m’intéresse en ce moment.
Pour ma novella Le Sauna, j’ai enfin terminé ma dernière illustration. Pour rappel, chaque chapitre ou presque se termine par la reproduction d’un tableau d’un peintre scandinave, en rapport avec le texte. Voilà un extrait qui est en lien direct avec le tableau :
Je vis alors sortir, près d’une cabane, une paire de fesses. Des femmes, nues, courraient vers le lac. Je me crus chez les dieux grecs, observant les nymphes. Où était le satyre qu’elles fuyaient ? Ce petit bâtiment là-bas, c’était le sauna. Les femmes plongeaient dans le lac pour se refroidir et revenaient ensuite se mettre au chaud. Les corps retrouvaient leur virginité comme si l’eau y était bénite. C’était si naturel. Innocent. D’une pureté primitive.
Les miracles existent !
Un portrait au crayon en bonus pour aujourd’hui :
« Désolé, Robert, y’a un problème technique, on ne t’entend plus… »
Un portrait au crayon en bonus aujourd’hui :
Comme quoi, le yoga, ça ne suffit pas.
On commence à prendre l’habitude : un petit dessin pour accompagner le journal quotidien :
Et pendant que je joue, comme c’est du tour par tour, je peux aussi dessiner :
Je dessine comme un furieux ces derniers temps. Je commence plein de trucs. Tout ce que je vous montre, ce sont les productions d’il y a 2/3 jours… Plume, pinceau, crayon, aquarelle… Tout est bon pour dessiner.
Un extrait de carnet au crayon. Pour le plaisir du dessin.
Extrait de carnet – Crayon – 21 x 13 cm
Suite à la visite de l’exposition de Jimmy Beaulieu nommée Tendresse et désir, j’ai eu envie de faire des croquis de filles, juste comme ça, sur mon carnet. Sans chercher à en faire un produit fini, façon aquarelle. Voilà ce qu’il en est sorti ces derniers jours.
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